Je vous raconte ma vie

Il existe de nombreuses motivations pour apprendre le reiki. Certaines personnes ont des douleurs chroniques et espèrent les soulager par le reiki. D’autres ont une recherche plus spirituelle. Et d’autres s’intéressent aux deux aspects du reiki.

Pour ma part, si j’ai appris le reiki, c’est parce que je n’avais pas la vie qui me correspondait. Bien sûr, lorsque j’ai commencé, je ne me suis pas formulé les choses ainsi. Mais j’ai pris conscience avec le temps que je n’étais pas à ma place et que le reiki pouvait m’aider à changer les choses.

Deux ans après avoir commencé, j’ai décidé de changer de vie. J’habitais Paris, et je travaillais comme cadre depuis 10 ans. Aujourd’hui, j’habite en pleine nature dans un parc naturel, à 4km du premier village, et je gagne ma vie sur internet.

Mon but depuis ce moment était de gagner un revenu en y consacrant le moins de temps possible. À une époque, j’avais un collègue laotien. Le Laos pratique le bouddhisme du petit véhicule. Et mon collègue m’expliquait que dans son pays, les gens cultivaient le riz, juste assez pour manger et pour avoir la semence de l’année suivante.

Mon collègue avait choisi de venir en France pour vivre l’extrême inverse. Il avait un emploi salarié. Il travaillait en indépendant les soirs et le week-end. Et il réfléchissait à ouvrir un site d’e-commerce. Il appréciait ma manière de travailler et il aurait bien aimé que je le rejoigne dans son activité d’indépendant. Mais je rêvais plutôt de ce qu’il me décrivait sur le Laos.

Depuis quelques années, j’ai atteint un minimalisme absolu. J’arrive à gagner ma vie en ne travaillant que quelques heures chaque mois. Je partage les grandes lignes de ma méthode dans le guide gratuit, « Travailler moins pour vivre mieux ».

Cela vous étonne probablement que je vous parle de la dimension matérielle de ma vie. Nous sommes dans un monde où nous avons tendance à séparer matériel et spirituel. Mais il s’agit des deux facettes indissociables de notre vie sur terre. Si j’ai la vie que j’ai choisie, c’est grâce à la pratique du reiki. Mais c’est également grâce au blogging.

Sur reiki dojo, je ne parle que de la dimension intérieure des choses. Bien entendu, dans un contexte spirituel, il ne faut pas trop s’attacher à la dimension extérieure de notre vie. Mais il ne faut pas non plus se mentir. J’ai tout le temps libre que je veux. Je fais ce que j’aime. Je n’ai pas de patron. Et lorsqu’il fait beau, je passe la moitié de mes journées dans la forêt.

Même si la personne en quête de spirituel ne doit pas trop s’attacher aux conditions extérieures, ce n’est pas pour rien que la majorité des monastères sont construits dans de grands espaces.

Il y a quelques années, j’ai développé le sentiment de ne partager que la moitié de ma recette de vie. J’ai eu l’impression que je pourrais partager beaucoup plus de bien-être en décrivant la manière dont je gagne ma vie. C’est pour cela que j’ai créé un nouveau blog où je parle de blogging. Mais il ne faut pas croire que les choses sont pour autant séparées. Mes deux blogs sont les deux facettes d’une même démarche.

Même s’il existe diverses motivations pour apprendre le reiki, la majorité du temps, c’est parce que nous rêvons d’une vie meilleure. Vous ne vous formulez peut-être pas les choses ainsi, mais c’est probablement cette même quête qui vous anime.

Vous vous dites peut-être que le sujet du blogging ne vous intéresse pas. Pourtant, apprendre le blogging peut changer votre vie, tout autant que le reiki. Si le monde matériel ne vous intéresse pas beaucoup, c’est le meilleur moyen pour y consacrer le moins de temps possible. Ainsi, vous pouvez occuper votre temps à ce qui est essentiel pour vous.

Vous vous dites peut-être que le blogging n’est pas fait pour vous. Par exemple, vous pensez qu’il faut être bon en technique. En réalité, il suffit de connaître quelques bases et ce n’est pas si compliqué. Ou vous imaginez que vous n’êtes pas assez expert pour enseigner quoi que se soit. Mais en réalité, vous avez forcement des passions à partager.

C’est pour cela que je vous conseille la lecture de mon nouveau guide, « Travailler moins pour vivre mieux ». Cela ne vous coûtera qu’une heure de votre temps et ce guide vous aidera peut-être à trouver votre nouvelle vocation.

Si le blogging ne vous tente pas, vous pouvez partager ce guide avec vos proches. Vous avez peut-être des enfants ou des petits enfants que cela peut intéresser.

Pour ma part, j’ai eu l’idée de gagner ma vie en vendant de l’information sur des sujets qui me passionnent alors que je n’avais que 13 ans. Quand j’ai découvert internet à la fac, dans le milieu des années 90, je ne savais pas encore comment, mais je me suis dit que j’aimerais bien développer une activité professionnelle basée sur le web.

À partir de ce moment, j’ai mis 15 ans avant de réaliser mon rêve. Mais j’aurais vraiment été heureux, dès mon adolescence, de découvrir un guide qui me donne les grandes lignes d’une méthode pour atteindre mon objectif.

Voici le lien pour télécharger gratuitement le guide « Travailler moins pour vivre mieux ».

Si vous n’aimez pas lire sur un écran, vous pouvez commander la version papier sur Amazon pour 3€77.